La co-création d'une collection de bijoux par Mathilde et Céline
Dans le cadre de notre partenariat avec l'association Skin, l'équipe Les Georgettes accompagnait Mathilde dans la co-création d'une collection de bijoux. Retour sur les différentes étapes de ce projet artistique en binôme, formé dans les règles du concept de Skin mais aussi de celui des Georgettes, à savoir, créer des bijoux personnalisables.
Dans le cadre de notre partenariat avec l'association Skin, l'équipe Les Georgettes accompagnait Mathilde dans la co-création d'une collection de bijoux. Retour sur les différentes étapes de ce projet artistique en binôme, formé dans les règles du concept de Skin mais aussi de celui des Georgettes, à savoir, créer des bijoux personnalisables.
Comment vous est venue l’idée de collaborer sur ce projet ?
Mathilde : elle vient d’abord de Cécile Reboul, fondatrice de Skin. Dans le cadre du projet artiste-patient que met en place l’association, elle a tout de suite pensé à moi pour faire un binôme avec les équipes Les Georgettes. Elle savait que j’étais intéressée par les arts appliqués et qu’un duo artistique avec cette marque de bijoux serait idéal pour moi.
Céline : du côté des Georgettes, c’est aussi grâce à une Cécile ! L’une de ses amies avait mené un projet avec l’association Skin et on a adoré l’idée. On a alors fait la rencontre de Cécile Reboul qui nous a mis en relation avec Mathilde. On avait envie de s’engager avec une association et la collaboration avec Mathilde est apparue comme une évidence. La rencontre avec Cécile et Mathilde, ce sont aussi des rencontres humaines. Cécile a vraiment le don de savoir trouver les personnalités et les sujets qui vont matcher ensemble. C’est magique !
Comment vous est venue l’idée de collaborer sur ce projet ?
Mathilde : elle vient d’abord de Cécile Reboul, fondatrice de Skin. Dans le cadre du projet artiste-patient que met en place l’association, elle a tout de suite pensé à moi pour faire un binôme avec les équipes Les Georgettes. Elle savait que j’étais intéressée par les arts appliqués et qu’un duo artistique avec cette marque de bijoux serait idéal pour moi.
Céline : du côté des Georgettes, c’est aussi grâce à une Cécile ! L’une de ses amies avait mené un projet avec l’association Skin et on a adoré l’idée. On a alors fait la rencontre de Cécile Reboul qui nous a mis en relation avec Mathilde. On avait envie de s’engager avec une association et la collaboration avec Mathilde est apparue comme une évidence. La rencontre avec Cécile et Mathilde, ce sont aussi des rencontres humaines. Cécile a vraiment le don de savoir trouver les personnalités et les sujets qui vont matcher ensemble. C’est magique !
« La collaboration entre Mathilde et Les Georgettes autour d'un projet artistique était une évidence ».
« La collaboration entre Mathilde et Les Georgettes autour d'un projet artistique était une évidence ».
Comment s’est passée votre première rencontre ?
Mathilde : rien que par mail, durant l’été 2021, Céline et moi nous sommes trouvées beaucoup de points communs : même génération, mêmes études, etc. On avait très envie de se rencontrer !
Céline : on s’est ensuite retrouvées au mois de septembre dans un café pour échanger sur nous et nos parcours. Cécile n’a pas du tout piloté cette mise en relation, elle nous a laissé trouver ensemble notre manière de fonctionner et ça s’est fait très naturellement.
Mathilde : ça nous a d’ailleurs permis de nous approprier le projet et de le développer spontanément. Au début, il était question de ne co-créer qu’une seule pièce et non plusieurs bijoux.
Céline : pour la co-création, j’avais demandé à Mathilde d’amener des images afin de voir ce qui lui plaisait. Son dossier était tellement riche qu’il paraissait impossible de ne créer qu’un seul bijou. Il y avait tellement de pistes qu’on avait matière à créer une collection.
Mathilde : la première fois que je suis venue, j’avais ramené un échantillon de métal avec une empreinte réalisée quand j’étais étudiante. Durant mon parcours de soins, j’ai fait des empreintes corporelles de la poitrine avant et après l’opération. L’empreinte corporelle représentait donc mon fil rouge.
Comment s’est passée votre première rencontre ?
Mathilde : rien que par mail, durant l’été 2021, Céline et moi nous sommes trouvées beaucoup de points communs : même génération, mêmes études, etc. On avait très envie de se rencontrer !
Céline : on s’est ensuite retrouvées au mois de septembre dans un café pour échanger sur nous et nos parcours. Cécile n’a pas du tout piloté cette mise en relation, elle nous a laissé trouver ensemble notre manière de fonctionner et ça s’est fait très naturellement.
Mathilde : ça nous a d’ailleurs permis de nous approprier le projet et de le développer spontanément. Au début, il était question de ne co-créer qu’une seule pièce et non plusieurs bijoux.
Céline : pour la co-création, j’avais demandé à Mathilde d’amener des images afin de voir ce qui lui plaisait. Son dossier était tellement riche qu’il paraissait impossible de ne créer qu’un seul bijou. Il y avait tellement de pistes qu’on avait matière à créer une collection.
Mathilde : la première fois que je suis venue, j’avais ramené un échantillon de métal avec une empreinte réalisée quand j’étais étudiante. Durant mon parcours de soins, j’ai fait des empreintes corporelles de la poitrine avant et après l’opération. L’empreinte corporelle représentait donc mon fil rouge.
« L'empreinte corporelle : le fil rouge de cette co-création de bijoux. »
« L'empreinte corporelle : le fil rouge de cette co-création de bijoux. »
Racontez-nous les différentes étapes du projet.
Mathilde : dans un premier temps, on était que toutes les deux avec Céline. On a discuté de ce qu’on envisageait, ensuite je lui ai envoyé un dossier d’idées : bijou gri-gri, empreinte corporelle, Talisman, reliques, etc. Je me suis aussi inspirée d’artistes que j’aimais beaucoup. On a finalement décidé que les équipes Les Georgettes seraient intégrées à notre collaboration lorsque Céline leur a partagé ce dossier.
Céline : c’était chouette d’apprendre à se connaître avant d’entamer le processus de création à l’aide du dossier hyper fort de Mathilde. On a alors réalisé que le projet devait s’ouvrir aux équipes de création de produits. C’est là qu’est née l’histoire de la ligne de vie, et celle de la cicatrice à rendre précieuse. Finalement, le fait que le binôme soit devenu Mathilde x toutes les équipes Les Georgettes - puisque Les Georgettes c’est aussi une équipe - a donné encore plus de richesse au projet.
Mathilde : ça m’a beaucoup plu que notre binôme s’ouvre aux équipes pour aller vers quelque chose de plus collectif et d'universel, qui concerne à la fois les femmes adhérentes à Skin, les femmes atteintes d’un cancer du sein mais aussi toutes les femmes - plus généralement - qui auraient envie de porter des bijoux, en l’associant ou non à la maladie.
Racontez-nous les différentes étapes du projet.
Mathilde : dans un premier temps, on était que toutes les deux avec Céline. On a discuté de ce qu’on envisageait, ensuite je lui ai envoyé un dossier d’idées : bijou gri-gri, empreinte corporelle, Talisman, reliques, etc. Je me suis aussi inspirée d’artistes que j’aimais beaucoup. On a finalement décidé que les équipes Les Georgettes seraient intégrées à notre collaboration lorsque Céline leur a partagé ce dossier.
Céline : c’était chouette d’apprendre à se connaître avant d’entamer le processus de création à l’aide du dossier hyper fort de Mathilde. On a alors réalisé que le projet devait s’ouvrir aux équipes de création de produits. C’est là qu’est née l’histoire de la ligne de vie, et celle de la cicatrice à rendre précieuse. Finalement, le fait que le binôme soit devenu Mathilde x toutes les équipes Les Georgettes - puisque Les Georgettes c’est aussi une équipe - a donné encore plus de richesse au projet.
Mathilde : ça m’a beaucoup plu que notre binôme s’ouvre aux équipes pour aller vers quelque chose de plus collectif et d'universel, qui concerne à la fois les femmes adhérentes à Skin, les femmes atteintes d’un cancer du sein mais aussi toutes les femmes - plus généralement - qui auraient envie de porter des bijoux, en l’associant ou non à la maladie.
« Un binôme devenu Mathilde x toutes les équipes Les Georgettes, pour un projet collectif qui concerne toutes les femmes ».
« Un binôme devenu Mathilde x toutes les équipes Les Georgettes, pour un projet collectif qui concerne toutes les femmes ».
Pouvez-vous nous décrire cette collection en quelques mots ?
Mathilde : Sororité. Rencontre de femmes. Une maladie qui concerne majoritairement des femmes. Cohésion d’équipe.
Céline : Force. Une thématique puissante. Poésie. Faire de la maladie quelque chose de beau et de féminin.
Avez-vous déjà repéré votre bijou préféré dans cette capsule ?
Mathilde : j’adore la bague « Infiniment ». Tant pour la ligne de vie que pour le signe Infini et la matière évoquant la cicatrice, elle symbolise toute la collaboration avec Les Georgettes.
Céline : pour moi les plus belles sont la manchette « Infiniment » pour le jeu d’effets de matière assez doux et poétique qui vient reprendre l’idée de la cicatrice, et la manchette Pure pour son volume, habillée avec le cuir « Fleur de Peau ».
Mathilde : j’aime aussi beaucoup cette manchette-là car elle sublime particulièrement la cicatrice, grâce à laquelle je suis encore là. Je reconnais ma cicatrice à travers la manchette, même si elle est stylisée, embellie et sublimée. C’était l’idée de lui rendre hommage et d’en faire quelque chose de précieux. C’est très réussi.
Pouvez-vous nous décrire cette collection en quelques mots ?
Mathilde : Sororité. Rencontre de femmes. Une maladie qui concerne majoritairement des femmes. Cohésion d’équipe.
Céline : Force. Une thématique puissante. Poésie. Faire de la maladie quelque chose de beau et de féminin.
Avez-vous déjà repéré votre bijou préféré dans cette capsule ?
Mathilde : j’adore la bague « Infiniment ». Tant pour la ligne de vie que pour le signe Infini et la matière évoquant la cicatrice, elle symbolise toute la collaboration avec Les Georgettes.
Céline : pour moi les plus belles sont la manchette « Infiniment » pour le jeu d’effets de matière assez doux et poétique qui vient reprendre l’idée de la cicatrice, et la manchette Pure pour son volume, habillée avec le cuir « Fleur de Peau ».
Mathilde : j’aime aussi beaucoup cette manchette-là car elle sublime particulièrement la cicatrice, grâce à laquelle je suis encore là. Je reconnais ma cicatrice à travers la manchette, même si elle est stylisée, embellie et sublimée. C’était l’idée de lui rendre hommage et d’en faire quelque chose de précieux. C’est très réussi.
« Une thématique puissante : faire de la maladie quelque chose de beau et de féminin ».
« Une thématique puissante : faire de la maladie quelque chose de beau et de féminin ».
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