Et si on allait danser ?

Dans le cadre de notre collection « Choré-graphique », l’occasion est toute trouvée pour vous parler de danse… Et vous donner envie d’en pratiquer dès la rentrée ! Quoi de mieux, pour vous convaincre, que de vous partager les expériences de notre équipe ? Salsa, Modern Jazz, Gymnastique Rythmique, Danse Orientale, Street Jazz… Chacune vous livre sa passion. Allez-vous suivre le mouvement ?

Dans le cadre de notre collection « Choré-graphique », l’occasion est toute trouvée pour vous parler de danse… Et vous donner envie d’en pratiquer dès la rentrée ! Quoi de mieux, pour vous convaincre, que de vous partager les expériences de notre équipe ? Salsa, Modern Jazz, Gymnastique Rythmique, Danse Orientale, Street Jazz… Chacune vous livre sa passion. Allez-vous suivre le mouvement ?

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Quelle danse ?
La Salsa portoricaine. Elle a été développée par la communauté latino-américaine aux États-Unis. Il existe plusieurs styles, principalement celui de Los Angeles et de New-York. On la danse en ligne tandis qu’en Salsa cubaine, on se déplace en cercle. J’ai débuté avec l’association Mambo Salsa. C’était notre sortie du lundi soir avec les collègues de l’équipe Les Georgettes ! J’ai tout de suite accroché. J’ai même été la partenaire de mon professeure Nadège. En parallèle, je suis des cours à l’École Bakido Dance School avec Mouaze, fondateur du Paris International Salsa Congress qui a lieu tous les ans. Je danse également en soirée, par exemple dans des bars ou sur les quais de Seine.

Pourquoi ?
C’est avant tout un moyen d’expression, via des mouvements et de la musique parfois romantique ou rythmée. Ça me permet de pratiquer un sport et de lâcher prise. En Salsa, la femme montre son élégance. Elle est mise en valeur par l’homme qui la guide. On apprend à s’adapter à différentes énergies. J’ai aussi pu voyager grâce à cette activité. Les ateliers et festivals organisés m’ont mené en Autriche, en Hongrie, en Croatie, etc. D’autre part, comme ma famille ne réside pas en France, je souhaitais faire de nouvelles rencontres. La Salsa portoricaine est très cosmopolite et regroupe plein de nationalités autour d’une même passion. Ça offre une connexion entre des individus, qu’importe leur langue et leur culture. On peut même être amenés à se revoir dans le cadre d’un nouvel évènement.

Pour qui ?
Cette danse s’adresse à tous les âges, et c’est pour ça qu’elle est enrichissante : on rencontre des personnes de différentes générations, de tous les niveaux. La Salsa portoricaine reste cependant plus technique que la cubaine. Il faut environ un an pour maîtriser et apprendre à se laisser guider. Il faut aussi savoir que les évènements sont souvent diffusés sur les réseaux sociaux, donc mieux vaut accepter d’être pris en photo, parfois même filmé, et contrer sa timidité !

Quels bijoux pour danser ?
Comme on porte souvent des talons décorés de strass et que j’aime ce qui brille quand je danse, j’opte pour des boucles d’oreilles de la collection Les Précieuses des Georgettes avec des cuirs pailletés, que je peux adapter à mon look. Mais pour Automne - Hiver 2022, ce sont les boucles d'oreilles Valse - nouveauté de la collection Les Précieuses - que je préfère... avec un cuir pailleté, évidemment ! 

Quelle danse ?
La Salsa portoricaine. Elle a été développée par la communauté latino-américaine aux États-Unis. Il existe plusieurs styles, principalement celui de Los Angeles et de New-York. On la danse en ligne tandis qu’en Salsa cubaine, on se déplace en cercle. J’ai débuté avec l’association Mambo Salsa. C’était notre sortie du lundi soir avec les collègues de l’équipe Les Georgettes ! J’ai tout de suite accroché. J’ai même été la partenaire de mon professeure Nadège. En parallèle, je suis des cours à l’École Bakido Dance School avec Mouaze, fondateur du Paris International Salsa Congress qui a lieu tous les ans. Je danse également en soirée, par exemple dans des bars sur les quais de Seine.

Pourquoi ?
C’est avant tout un moyen d’expression, via des mouvements et de la musique parfois romantique ou rythmée. Ça me permet de pratiquer un sport et de lâcher prise. En Salsa, la femme montre son élégance. Elle est mise en valeur par l’homme qui la guide. On apprend à s’adapter à différentes énergies. J’ai aussi pu voyager grâce à cette activité. Les ateliers et festivals organisés m’ont mené en Autriche, en Hongrie, en Croatie, etc. D’autre part, comme ma famille ne réside pas en France, je souhaitais faire de nouvelles rencontres. La Salsa portoricaine esy très cosmopolite et regroupe plein de nationalités autour d’une même passion. Ça offre une connexion entre des individus, qu’importe leur langue et leur culture. On peut même être amenés à se revoir dans le cadre d’un nouvel évènement.

Pour qui ?
Cette danse s’adresse à tous les âges, et c’est pour ça qu’elle est enrichissante : on rencontre des personnes de différentes générations, de tous les niveaux. La Salsa portoricaine reste cependant plus technique que la cubaine. Il faut environ un an pour maîtriser et apprendre à se laisser guider. Il faut aussi savoir que les évènements sont souvent diffusés sur les réseaux sociaux, donc mieux vaut accepter d’être pris en photo, parfois même filmé, et contrer sa timidité !

Quels bijoux pour danser ?
Comme on porte souvent des talons décorés de strass et que j’aime ce qui brille quand je danse, j’opte pour des boucles d’oreilles de la collection Les Précieuses des Georgettes avec des cuirs pailletés, que je peux adapter à mon look. Mais pour Automne - Hiver 2022, ce sont les boucles d'oreilles Valse - nouveauté de la collection Les Précieuses - que je préfère... avec un cuir pailleté, évidemment !

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Quelle danse ?
La danse Modern Jazz, depuis plus de 25 ans ! J’ai suivi des cours pendant très longtemps dans une école, puis en association, et même dans le cadre de mes études de commerce. J’ai découvert plein d’univers différents, du pur Jazz à la danse contemporaine jusqu’à des cours aux influences plutôt africaines, ce qui m’a aussi permis de m’orienter et de voir ce que j’aimais vraiment.

Pourquoi ?
D’abord pour exprimer ma créativité. Ensuite, pour la sensation de plénitude et de bonne fatigue : quand je danse, je suis dans ma bulle ! C’est mon moment de détente et de féminité. Enfin, j’adore la cohésion d’équipe que procure le Modern Jazz, le fait de retrouver ses amis, la notion de partage, les corps en synchronisation, qui créent une harmonie. Un groupe soudé, ça se voit sur scène. Lors des spectacles de fin d’année, on se réunit pour présenter un beau tableau de danse à ses proches. La chorégraphie, travaillée sur un an, prend alors toute sa dimension quand tu rajoutes les costumes, le maquillage et le public.

Pour qui ?
C’est une discipline ouverte à tous même si elle s’articule autour de niveaux spécifiques. Il n’y a pas de critère d’âge, ni physique. Ça demande surtout du rythme et de la coordination.

Quels bijoux pour danser ?
J’adapte en fonction de ce que je porte. Au bras gauche, je porte toujours les mêmes bijoux et ne les enlève jamais ! Au bras droit, je mixe les bracelets de la collection Les Cadettes avec les manchettes Les Georgettes. J'aime bien aussi la nouveauté de la collection Les Précieuses pour la saison Automne - Hiver 2022 : Charleston. 

Quelle danse ?
La danse Modern Jazz, depuis plus de 25 ans ! J’ai suivi des cours pendant très longtemps dans une école, puis en association, et même dans le cadre de mes études de commerce. J’ai découvert plein d’univers différents, du pur Jazz à la danse contemporaine jusqu’à des cours aux influences plutôt africaines, ce qui m’a aussi permis de m’orienter et de voir ce que j’aimais vraiment.

Pourquoi ?
D’abord pour exprimer ma créativité. Ensuite, pour la sensation de plénitude et de bonne fatigue : quand je danse, je suis dans ma bulle ! C’est mon moment de détente et de féminité. Enfin, j’adore la cohésion d’équipe que procure le Modern Jazz, le fait de retrouver ses amis, la notion de partage, les corps en synchronisation, qui créent une harmonie. Un groupe soudé, ça se voit sur scène. Lors des spectacles de fin d’année, on se réunit pour présenter un beau tableau de danse à ses proches. La chorégraphie, travaillée sur un an, prend alors toute sa dimension quand tu rajoutes les costumes, le maquillage et le public.

Pour qui ?
C’est une discipline ouverte à tous même si elle s’articule autour de niveaux spécifiques. Il n’y a pas de critère d’âge, ni physique. Ça demande surtout du rythme et de la coordination.

Quels bijoux pour danser ?
J’adapte en fonction de ce que je porte. Au bras gauche, je porte toujours les mêmes bijoux et ne les enlève jamais ! Au bras droit, je mixe les bracelets de la collection Les Cadettes avec les manchettes Les Georgettes. J'aime bien aussi la nouveauté de la collection Les Précieuses pour la saison Automne - Hiver 2022 : Charleston. 

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Quelle danse ?
La Gymnastique Rythmique. Je l’ai pratiqué pendant plus de 20 ans et l’enseigne en tant que coach depuis 4 ans. C’est une discipline à la fois technique et artistique qui mêle de la danse avec ce que l’on appelle des « engins » : le ruban, la corde, le ballon, le cerceau et les massues. On peut la pratiquer dans des clubs sportifs, plus souvent en compétition que pour le loisir, généralement en équipe de 5 personnes. La Gymnastique Rythmique est représentée aux Jeux Olympiques. Elle est très encadrée et suit des critères rigoureux qui reprennent ceux de la gymnastique et de la danse classique. 

Pourquoi ?
Quand on travaille en équipe, les chorégraphies représentent un éternel renouvellement, car elles se créent toujours avec de nouvelles compositions : ballon-cerceau, ruban-corde, cerceau-ruban, etc. C’est infini ! On ne s’ennuie jamais. C’est pour ça que désormais je l’enseigne. C’est un sport de partage qui procure de la joie, du rire et du plaisir. Je m’épanouis au contact d’enfants. C’est un métier très humain dans lequel on transmet à l’autre. Au fur et à mesure, on constate les progrès des élèves. Si vous voulez que vos enfants pratiquent un sport, faites-leur découvrir la GR ! C'est riche d’apprentissage : gestion de l’espace, mémorisation des enchaînements, dextérité, souplesse, rigueur, synchronisation, manipulation des engins, assimilation d’un tempo, etc.

Pour qui ?
Pour avoir un bon niveau, il faut commencer très tôt, vers 5 ou 6 ans. La souplesse peut s’acquérir, mais ça demande beaucoup d’investissement corporel. L’assiduité doit être irréprochable car la moindre absence d’une personne pénalise un groupe puisqu’il y a des échanges de ballons, de rubans, etc. Lorsqu’on l’exerce en compétition, l’esprit d’équipe est très important : l’enchaînement doit être minutieusement exécuté devant le jury. L’équipe doit être parfaite, ce qui bien sûr crée des liens très forts. Tout le monde se donne à fond. Il y a beaucoup de soutien. Lors d’une compétition, le public est d’ailleurs au rendez-vous. Chaque groupe s’acclame mutuellement !

Quels bijoux pour danser ?
En GR, au moment du spectacle de fin d’année - contrairement aux entraînements et aux compétitions où ils sont interdits - on peut porter des bijoux pour habiller les justaucorps à paillettes ! Ma nouvelle manchette préférée, c'est Charleston : la plus cool de la collection Automne - Hiver 2022 !

Quelle danse ?
La Gymnastique Rythmique. Je l’ai pratiqué pendant plus de 20 ans et l’enseigne en tant que coach depuis 4 ans. C’est une discipline à la fois technique et artistique qui mêle de la danse avec ce que l’on appelle des « engins » : le ruban, la corde, le ballon, le cerceau et les massues. On peut la pratiquer dans des clubs sportifs, plus souvent en compétition que pour le loisir, généralement en équipe de 5 personnes. La Gymnastique Rythmique est représentée aux Jeux Olympiques. Elle est très encadrée et suit des critères rigoureux qui reprennent ceux de la gymnastique et de la danse classique. 

Pourquoi ?
Quand on travaille en équipe, les chorégraphies représentent un éternel renouvellement, car elles se créent toujours avec de nouvelles compositions : ballon-cerceau, ruban-corde, cerceau-ruban, etc. C’est infini ! On ne s’ennuie jamais. C’est pour ça que désormais je l’enseigne. C’est un sport de partage qui procure de la joie, du rire et du plaisir. Je m’épanouis au contact d’enfants. C’est un métier très humain dans lequel on transmet à l’autre. Au fur et à mesure, on constate les progrès des élèves. Si vous voulez que vos enfants pratiquent un sport, faites-leur découvrir la GR ! C'est riche d’apprentissage : gestion de l’espace, mémorisation des enchaînements, dextérité, souplesse, rigueur, synchronisation, manipulation des engins, assimilation d’un tempo, etc.

Pour qui ?
Pour avoir un bon niveau, il faut commencer très tôt, vers 5 ou 6 ans. La souplesse peut s’acquérir, mais ça demande beaucoup d’investissement corporel. L’assiduité doit être irréprochable car la moindre absence d’une personne pénalise un groupe puisqu’il y a des échanges de ballons, de rubans, etc. Lorsqu’on l’exerce en compétition, l’esprit d’équipe est très important : l’enchaînement doit être minutieusement exécuté devant le jury. L’équipe doit être parfaite, ce qui bien sûr crée des liens très forts. Tout le monde se donne à fond. Il y a beaucoup de soutien. Lors d’une compétition, le public est d’ailleurs au rendez-vous. Chaque groupe s’acclame mutuellement !

Quels bijoux pour danser ?
En GR, au moment du spectacle de fin d’année - contrairement aux entraînements et aux compétitions où ils sont interdits - on peut porter des bijoux pour habiller les justaucorps à paillettes ! Ma nouvelle manchette préférée, c'est Charleston : la plus cool de la collection Automne - Hiver 2022 !

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Quelle danse ?
J’ai longtemps pratiqué la Danse Orientale, une véritable passion pendant près de 10 ans. Je donnais des représentations dans toute la région de Tours, pour des comités d’entreprise ou encore des anniversaires. Le week-end, lorsque j’étais étudiante, je dansais aussi dans un restaurant, ce qui me permettait de me faire de l’argent de poche. C’était à la fois un loisir et un job ! Puis j’ai emménagé à Paris, et j’ai commencé la Salsa. Des cours en groupe avaient lieu le samedi soir au sein d’une association. Je me suis liée d’amitié avec les membres de ce groupe, et surtout, rencontré mon mari !

Pourquoi ?
Les deux types de danse que j’ai pratiqué permettent de se sentir bien dans son corps et dans sa tête, de découvrir de nouvelles personnes, de nouveaux endroits, de s’ouvrir aux autres mais aussi à soi-même, de gagner en confiance et d’exprimer sa féminité. Lorsque l’on danse, on révèle une autre facette de soi, que l’on ne montre pas au quotidien, dans notre sphère professionnelle comme amicale ou familiale.

Pour qui ?
Tout le monde peut pratiquer la Danse Orientale, tant que vous avez un peu de souplesse, que vous savez être gracieux et dissocier les différentes parties de votre corps pour n’en bouger qu’une seule. En Salsa, il faut surtout savoir gérer la notion de rapport à l’autre, car il s’agit d’une danse de couple. Il faut savoir se coordonner, se laisser guider et se faire mutuellement confiance.

Quels bijoux pour danser ?
En Danse Orientale, plus le bijou est imposant, mieux c’est ! Pour un spectacle, je portais souvent des créoles. Je cumulais aussi des bracelets et en profitais pour porter les boucles d’oreilles et les manchettes fantaisie que ma mère m’a légué. Ils se prêtaient remarquablement bien aux costumes. Pour la Salsa, il fallait privilégier les bijoux discrets qui ne gênent pas trop le mouvement. Dans la nouvelle collection Automne - Hiver 2022, mon bijou préféré est la manchette SWING : j’aime le jeu de dessus-dessous réalisé tout en finesse avec le métal, et qui laisse bien apparaître le cuir, ainsi que les différents effets de gravure, qui la rendent complètement originale et très féminine !

Quelle danse ?
J’ai longtemps pratiqué la Danse Orientale, une véritable passion pendant près de 10 ans. Je donnais des représentations dans toute la région de Tours, pour des comités d’entreprise ou encore des anniversaires. Le week-end, lorsque j’étais étudiante, je dansais aussi dans un restaurant, ce qui me permettait de me faire de l’argent de poche. C’était à la fois un loisir et un job ! Puis j’ai emménagé à Paris, et j’ai commencé la Salsa. Des cours en groupe avaient lieu le samedi soir au sein d’une association. Je me suis liée d’amitié avec les membres de ce groupe, et surtout, rencontré mon mari !

Pourquoi ?
Les deux types de danse que j’ai pratiqué permettent de se sentir bien dans son corps et dans sa tête, de découvrir de nouvelles personnes, de nouveaux endroits, de s’ouvrir aux autres mais aussi à soi-même, de gagner en confiance et d’exprimer sa féminité. Lorsque l’on danse, on révèle une autre facette de soi, que l’on ne montre pas au quotidien, dans notre sphère professionnelle comme amicale ou familiale.

Pour qui ?
Tout le monde peut pratiquer la Danse Orientale, tant que vous avez un peu de souplesse, que vous savez être gracieux et dissocier les différentes parties de votre corps pour n’en bouger qu’une seule. En Salsa, il faut surtout savoir gérer la notion de rapport à l’autre, car il s’agit d’une danse de couple. Il faut savoir se coordonner, se laisser guider et se faire mutuellement confiance.

Quels bijoux pour danser ?
En Danse Orientale, plus le bijou est imposant, mieux c’est ! Pour un spectacle, je portais souvent des créoles. Je cumulais aussi des bracelets et en profitais pour porter les boucles d’oreilles et les manchettes fantaisie que ma mère m’a légué. Ils se prêtaient remarquablement bien aux costumes. Pour la Salsa, il fallait privilégier les bijoux discrets qui ne gênent pas trop le mouvement. Dans la nouvelle collection Automne - Hiver 2022, mon bijou préféré est la manchette SWING : j’aime le jeu de dessus-dessous réalisé tout en finesse avec le métal, et qui laisse bien apparaître le cuir, ainsi que les différents effets de gravure, qui la rendent complètement originale et très féminine !

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Quelle danse ?
Le Street Jazz, qui s’apparente à du hip-hop mêlé à du Modern Jazz, et que l’on danse sur différents genres musicaux selon le style du professeur : pop, RnB, funk, électro, etc. Elle se pratique en groupe dans une salle ou dans la rue (d’où son nom) !  Il y a 20 ans, lorsque j’ai suivi mes premiers cours, cette discipline paraissait encore récente. Il nous arrivait de danser le week-end dans des salles de spectacles, des campings, parfois même des cinémas. Aujourd’hui, je continue d’en pratiquer en association avec laquelle nous organisons un spectacle de fin d’année dans un théâtre ou même en extérieur.

Pourquoi ?
Liberté, bien-être et esprit d’équipe. Être sur scène, c’est comme être quelqu’un d’autre ! Les complexes disparaissent, on affiche un grand sourire et on apprécie pleinement le moment. Dans un cours collectif, on tisse des liens forts avec les autres, puisque l’on se réunit autour d’une passion commune. Ça se ressent dans la synchronisation des mouvements. Plus qu’une cohésion d’équipe, il y a une sorte de solidarité. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’aime tant les spectacles de fin d’année : on se serre les coudes et on met toute son énergie à effectuer les pas de danse assimilés durant près d’un an. On saisit ensemble chaque seconde, on vit l’instant présent.

Pour qui ?
Il existe des cours pour tous les niveaux : débutant, moyen, intermédiaire, avancé, etc. Avoir pratiqué un autre style de danse au préalable permet de savoir exécuter les mouvements avec rapidité, précision et attitude. Le Street Jazz est explosif !

Quels bijoux pour danser ?
Durant un spectacle, on peut se parer d’un porte-bonheur comme une bague, un bracelet ou même un pendentif. Les bijoux de la collection Essentielles peuvent par exemple se porter facilement car ils subliment n’importe quelle tenue. J'ai d'ailleurs un faible pour la manchette Valse qui rejoint les Essentielles à la nouvelle saison Automne - Hiver 2022

Quelle danse ?
Le Street Jazz, qui s’apparente à du hip-hop mêlé à du Modern Jazz, et que l’on danse sur différents genres musicaux selon le style du professeur : pop, RnB, funk, électro, etc. Elle se pratique en groupe dans une salle ou dans la rue (d’où son nom) !  Il y a 20 ans, lorsque j’ai suivi mes premiers cours, cette discipline paraissait encore récente. Il nous arrivait de danser le week-end dans des salles de spectacles, des campings, parfois même des cinémas. Aujourd’hui, je continue d’en pratiquer en association avec laquelle nous organisons un spectacle de fin d’année dans un théâtre ou même en extérieur.

Pourquoi ?
Liberté, bien-être et esprit d’équipe. Être sur scène, c’est comme être quelqu’un d’autre ! Les complexes disparaissent, on affiche un grand sourire et on apprécie pleinement le moment. Dans un cours collectif, on tisse des liens forts avec les autres, puisque l’on se réunit autour d’une passion commune. Ça se ressent dans la synchronisation des mouvements. Plus qu’une cohésion d’équipe, il y a une sorte de solidarité. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’aime tant les spectacles de fin d’année : on se serre les coudes et on met toute son énergie à effectuer les pas de danse assimilés durant près d’un an. On saisit ensemble chaque seconde, on vit l’instant présent.

Pour qui ?
Il existe des cours pour tous les niveaux : débutant, moyen, intermédiaire, avancé, etc. Avoir pratiqué un autre style de danse au préalable permet de savoir exécuter les mouvements avec rapidité, précision et attitude. Le Street Jazz est explosif !

Quels bijoux pour danser ?
Durant un spectacle, on peut se parer d’un porte-bonheur comme une bague, un bracelet ou même un pendentif. Les bijoux de la collection Essentielles peuvent par exemple se porter facilement car ils subliment n’importe quelle tenue. J'ai d'ailleurs un faible pour la manchette Valse qui rejoint les Essentielles à la nouvelle saison Automne - Hiver 2022

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DANSER AVEC LES GEORGETTES

En attendant de trouver le style qui vous correspond, on vous invite à suivre le mouvement en adoptant les nouvelles pépites de notre collection Automne - Hiver 2022 intitulée « Choré-Graphique ». Plutôt VALSE, SWING ou CHARLESTON ? À vous de voir…

DANSER AVEC LES GEORGETTES

En attendant de trouver le style qui vous correspond, on vous invite à suivre le mouvement en adoptant les nouvelles pépites de notre collection Automne - Hiver 2022 intitulée « Choré-Graphique ». Plutôt VALSE, SWING ou CHARLESTON ? À vous de voir…